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Witches variation ft Eodum
@ Athéna Porter
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Emploi : Archiviste
Localisation : Salem
Witches variation
Lettres d’argents, écriture calligraphiant un lieu, une date, une heure… En retracer inconsciemment les courbes et boucles composant chaque mots, d’une affiche à un autre, une parmi tant d’autre…
Environnement étranger, d’une salle comble de personnalités diverses… Seul repère ton ongle, reproduisant schématiquement le rythme de cet étrange valse ; instrumental absorbé par le tumulte des conversations, des verres tintant les uns aux autres. Décoration symétrique, taupe prédominant les drapés pour mieux valoriser les lieux…Excentrée, pour mieux observer la salle, les corps se fondant comme un seul être, de fleurs grandioses et robes luxueuses, de bijoux étincelants sous les douces lumières des lustres cristallins.
Système, monde si éloignée du tiens, aux règles et codes préétablis, à la bienséance et étiquette trompeuse… Si près pourtant désormais, ressemblance alarmante, ainsi vêtue… Ton reflet le rappelle sans cesse, dès lors que ton regard se pose sur l’une des fenêtre ; actrice d’une mascarade aux sourires trompeurs, et compliments hypocrites…
Le conservateur te désigne la foule de ces perles opaques…brise les minutes de repos par sa commande silencieuse.
Archiviste, tel était ton rôle… Pourtant, tu n’en avais jamais été plus éloigné que ce soir ; membre d’un échiquier éphémère, où il n’y avait nul autre récompense que la promesse d’un généreux chèque soigneusement remis au conservateur. Origine et conséquence même de toute collecte de fond après tout…
Liquide ambrée terminait dans la seconde, coupe posée sur l’une des nombreuses tables déployée à l’occasion… Chaque pas te rapproche un peu plus de la foule, et t’éloigne des abysses insondables de tes pensées, vers une surface que tu ne t’empresses pas de connaître, de rejoindre…
Lèvres scellés, visage se tournant d’un côté, d’un autre tandis que tu cherches un visage familier, un groupe susceptible de ne pas évoquer les derniers scandales des hautes sphères… Alors même que tu serais prête à parier qu’un coup d’œil approfondis de leur existence mettrait en lumière tout autant de scandale que ceux qu’ils évoquaient, verre en main, d’un air faussement outragée.
Actions mécaniques quand tu attrapes un verre pour le porter à tes lèvres, silencieuse et analyste… Peut-être aurait-il été préférable de feindre la maladie, énième soirée solitaire, presque, livre en main et Pantalaimon au creux du coude… Tu n’en avais rien fait, le regrettant désormais, un peu…beaucoup… Il aurait été préférable à tes yeux le silence, ou quelques notes Bring me the Horizon aux cancans grotesque de ces dames et messieurs, après tout, il y avait plus d'un mannequin au sein de la salle, des acteurs et grandes familles. Cet enchantement pour ces messes basses n'avaient que pour conséquence de te faire rouler des yeux et éloigner du groupe, l'alcool, en meilleur compagnie que les derniers que tu avais croisé finalement.
Environnement étranger, d’une salle comble de personnalités diverses… Seul repère ton ongle, reproduisant schématiquement le rythme de cet étrange valse ; instrumental absorbé par le tumulte des conversations, des verres tintant les uns aux autres. Décoration symétrique, taupe prédominant les drapés pour mieux valoriser les lieux…Excentrée, pour mieux observer la salle, les corps se fondant comme un seul être, de fleurs grandioses et robes luxueuses, de bijoux étincelants sous les douces lumières des lustres cristallins.
Système, monde si éloignée du tiens, aux règles et codes préétablis, à la bienséance et étiquette trompeuse… Si près pourtant désormais, ressemblance alarmante, ainsi vêtue… Ton reflet le rappelle sans cesse, dès lors que ton regard se pose sur l’une des fenêtre ; actrice d’une mascarade aux sourires trompeurs, et compliments hypocrites…
Le conservateur te désigne la foule de ces perles opaques…brise les minutes de repos par sa commande silencieuse.
Archiviste, tel était ton rôle… Pourtant, tu n’en avais jamais été plus éloigné que ce soir ; membre d’un échiquier éphémère, où il n’y avait nul autre récompense que la promesse d’un généreux chèque soigneusement remis au conservateur. Origine et conséquence même de toute collecte de fond après tout…
Liquide ambrée terminait dans la seconde, coupe posée sur l’une des nombreuses tables déployée à l’occasion… Chaque pas te rapproche un peu plus de la foule, et t’éloigne des abysses insondables de tes pensées, vers une surface que tu ne t’empresses pas de connaître, de rejoindre…
Lèvres scellés, visage se tournant d’un côté, d’un autre tandis que tu cherches un visage familier, un groupe susceptible de ne pas évoquer les derniers scandales des hautes sphères… Alors même que tu serais prête à parier qu’un coup d’œil approfondis de leur existence mettrait en lumière tout autant de scandale que ceux qu’ils évoquaient, verre en main, d’un air faussement outragée.
Actions mécaniques quand tu attrapes un verre pour le porter à tes lèvres, silencieuse et analyste… Peut-être aurait-il été préférable de feindre la maladie, énième soirée solitaire, presque, livre en main et Pantalaimon au creux du coude… Tu n’en avais rien fait, le regrettant désormais, un peu…beaucoup… Il aurait été préférable à tes yeux le silence, ou quelques notes Bring me the Horizon aux cancans grotesque de ces dames et messieurs, après tout, il y avait plus d'un mannequin au sein de la salle, des acteurs et grandes familles. Cet enchantement pour ces messes basses n'avaient que pour conséquence de te faire rouler des yeux et éloigner du groupe, l'alcool, en meilleur compagnie que les derniers que tu avais croisé finalement.
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@ Eodum Yoon
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Emploi : Mannequin, défile dans le monde entier, ce qui fait tomber certains fans quand il arrive à l'aéroport.
Localisation : Dans son agence de mannequinat, à balancer sa haine aux photographes qui n'ont sûrement rien demandés de leurs vies.
☽☾
Witches Variation
ft. Athéna Porter
Un évènement qu’il devait assister, aucun choix de refuser par son agence. Soirée où tout semblait luxueux, habillé de noir et blanc, orchestre qui accueillait ce beau monde au fil des minutes, Hitam, le chien loup américain à ses côtés qui se présentait fièrement au monde, le sorcier noir n’avait malheureusement aucune personne pour le garder et il refusait catégoriquement de le laisser seul. Le sorcier s’aventurait dans les foules avec un visage fermé, prêt à être sur la défensive. Un journaliste a été invité. Cet homme qui se rapprochait de lui. ‘’Êtes-vous content d’assister à cet évènement ? ‘’
Dans un soupir, le brun serrait sa mâchoire. « Je n’ai pas eu le choix, à vrai dire. Vous avez encore des questions stupides comme ça ? » Heureusement que son agent n’était pas présent, sinon il aurait sûrement eu une tape derrière la tête. Encore des ennuis qu’il s’était attiré. Eodum était plutôt doué dans ce domaine. L’orchestre qui cessa de jouer, les personnes qui parlaient autour de lui, aucunes personnes qu’il ne connaissait dans les environs. Le sorcier noir s’éloigna alors de ce journaliste un peu confus suite à sa réponse si agressive.
Prenant un verre tout en s’asseyant sur une chaise, il bu une gorgée du liquide alcoolisé. Le sorcier noir posait son verre sur une table qui semblait le plus proche de sa portée pour pouvoir remettre sa longue veste noire correctement. Une autre personne s’approche du sorcier malveillant pour lui annoncer qu’il y aurait un photoshoot, aucune obligation mais il avait envie. Quittant sa place, les mains dans les poches suivant ainsi la personne qui le guide à travers la foule qui chuchotent à son sujet, Eodum roulait des yeux.
Un regard rempli de haine arriver dans leurs directions qui fut vite silencieux. Pas de mauvais sujet en son nom, Hitam grognait dans les autres environs imitant alors le sorcier noir. Caresse à son totem pour le calmer, ses grognements cessèrent aussi vite qu’ils ne sont apparus. Le mannequin arrivait à l’endroit pour les photos, le visage haineux s’envola laissant apparaitre un visage d’ange face aux photographes, mise en scène avec son chien noir se dressant fièrement sur ses pattes devant les flashs qui illuminaient l’endroit. Changement de position pour une seconde rafale de lumières blanches.
Photo fini, des gens semblaient tomber sous son charme, quittant l’endroit dédié aux photos, il souriait tel un ange qui pourrait faire tomber plus d’une. Il jouait, sachant qu’il le savait, son cœur était déjà promis à un homme. Le mannequin allait se diriger de nouveau vers cette table où attendait son verre bien sagement. Eodum prenait son verre s’éloignant de cette fameuse table, rejoignant une femme qui semblait être dans son coin. « Madame n’aime pas la foule ? » disait-il en mettant une main dans sa poche.
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Coupe cristalline… Saveurs sucrées d’un ballet hypnotique, de bulles enveloppés d’or… Impressionnant. Qualificatif de la soirée, maître mot… tel était l’objectif imposait par votre directeur. Et si, une part de toi en comprenait la nécessité… le luxe attirait les amis après tout. L’autre, se demandait s’il y avait une utilité à dépenser tant d’argent en appât à une foule de piranha qui n’en compenserait peut-être que la moitié s’ils étaient suffisamment enivrés pour signer le chèque.
Il t’étais difficile d’ignorer ta propre hypocrisie cependant… A ta manière, tu appréciais cette richesse autant que n’importe qui, plus encore les saveurs qui l’accompagnaient. Ce ne serait que mentir de dire que tu n’appréciais pas les effluves sucrées et florales de parfum luxueux, le moelleux des petits fours ou la brûlure de l’alcool au creux de ta gorge. Tout comme le service, excellent tu devais l’avouer… donner à ta personne des allures de princesse que tu ne te connaissais pas, ne rien faire posséder quelque chose d’addictif en un sens… Chasser le naturel et il revient au galop…Raison pour laquelle tu avais rassembler les verres usées à quelque endroit de la salle.
Chemin sinueux jusqu’au creux de ton cou, frisson parcourant l’échine t’indiquant sa présence… Du coin de l’œil, l’ironique destinée se présente sous les traits enchanteurs du mannequin, objet de toute les confidences du soir, ayant une fois encore, présenter certaines de ses pires facettes… Dire que d’ordinaire, tu évitais la presse people autant se peu…
Sourire ironique étirant tes lèvres lorsque les mots franchissent ses lèvres… Non. Madame n’aimait pas les foules. Madame exécrait ces foules aux personnes trop parfaites pour être vraies, dents blanches parfaitement alignés et corps parfait, de comparaisons risibles sur les plus beaux vêtements et lieux de vacances… Et, de manière générale, qui de vous deux préférait les foules ; la solaire, à n’en point douter… Madame ne se mêlait au foule qu’en absolue nécessité… Parce qu’il était plus simple ainsi d’approcher certains poissons, parce qu’il était parfois bon de se perdre dans les méandres d’une foule enivrée qui t’oublierait aux petites lueurs du jour… « Monsieur non plus à ce que je peux voir » mots calmes et assurés, tes yeux se portant sur l’imposant animal à ses côtés, chien magnifique aux couleurs nocturnes… Froissement du tissu alors que la robe se perd au sol, yeux à hauteur de l’animal désormais tandis que tu présentes ta main. Tu savais mieux que de t’imposer à un être vivant, quel qu’il soit, chien farouchement protecteur du maître si l’on en croyait les grognements.
Si compagnie devait avoir lieux désormais, deux solitaires loin d’une foule hypocrite… Tu préférais démontrer que tu n’étais pas plus dangereuse qu’une autre, entière, nue ou presque devant l’animal et le maître.
Il t’étais difficile d’ignorer ta propre hypocrisie cependant… A ta manière, tu appréciais cette richesse autant que n’importe qui, plus encore les saveurs qui l’accompagnaient. Ce ne serait que mentir de dire que tu n’appréciais pas les effluves sucrées et florales de parfum luxueux, le moelleux des petits fours ou la brûlure de l’alcool au creux de ta gorge. Tout comme le service, excellent tu devais l’avouer… donner à ta personne des allures de princesse que tu ne te connaissais pas, ne rien faire posséder quelque chose d’addictif en un sens… Chasser le naturel et il revient au galop…Raison pour laquelle tu avais rassembler les verres usées à quelque endroit de la salle.
Chemin sinueux jusqu’au creux de ton cou, frisson parcourant l’échine t’indiquant sa présence… Du coin de l’œil, l’ironique destinée se présente sous les traits enchanteurs du mannequin, objet de toute les confidences du soir, ayant une fois encore, présenter certaines de ses pires facettes… Dire que d’ordinaire, tu évitais la presse people autant se peu…
Sourire ironique étirant tes lèvres lorsque les mots franchissent ses lèvres… Non. Madame n’aimait pas les foules. Madame exécrait ces foules aux personnes trop parfaites pour être vraies, dents blanches parfaitement alignés et corps parfait, de comparaisons risibles sur les plus beaux vêtements et lieux de vacances… Et, de manière générale, qui de vous deux préférait les foules ; la solaire, à n’en point douter… Madame ne se mêlait au foule qu’en absolue nécessité… Parce qu’il était plus simple ainsi d’approcher certains poissons, parce qu’il était parfois bon de se perdre dans les méandres d’une foule enivrée qui t’oublierait aux petites lueurs du jour… « Monsieur non plus à ce que je peux voir » mots calmes et assurés, tes yeux se portant sur l’imposant animal à ses côtés, chien magnifique aux couleurs nocturnes… Froissement du tissu alors que la robe se perd au sol, yeux à hauteur de l’animal désormais tandis que tu présentes ta main. Tu savais mieux que de t’imposer à un être vivant, quel qu’il soit, chien farouchement protecteur du maître si l’on en croyait les grognements.
Si compagnie devait avoir lieux désormais, deux solitaires loin d’une foule hypocrite… Tu préférais démontrer que tu n’étais pas plus dangereuse qu’une autre, entière, nue ou presque devant l’animal et le maître.
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Loin d’une foule aux sourires hypocrites. Le sorcier qui laissait la femme se baissait pour caresser la masse noire qui semblait se calmer, il avait confiance en Hitam, celui-ci devint que douceur face aux caresses de d’Athéna. « Effectivement, je n’aime pas la foule surtout si celle-ci me colle afin de savoir où j’habite. D’ailleurs, j’ai oublié les bonnes manières. Je m’appelle Eodum et je viens de l’agence de Salem. Mon agence m’a envoyé ici sans avoir vraiment le choix. » répondait le sorcier en soupirant. « Je pense m’avoir donné en spectacle également. »
Son verre qui se rapprochait dangereusement de ses lèvres pour laisser couler le liquide alcoolisé le long de sa gorge. Laissant un moment de silence pendant quelque secondes en haussant tout simplement par la suite à cause de sa réponse. Monsieur j’en foutiste à répondu présent à contrecœur mais à accepter pour le chèque à la fin de l’objectif pour l’encaisser, c’est tout ce qu’il l’intéressait pour cette évènement. « J’pense que le conservateur va commencer à parler. » Un second soupire quittait alors ses lèvres une seconde fois. Une voix masculine retentit près d’un micro pour accueillir la foule hypocrites. ‘’Bonsoir à tous et à toutes, je vous remercie de votre agréable présence.’’ « Mon cul oui. Gngng Agréable gngngn. » rajoutait en commentaire ce que disait le conservateur.
Le sorcier se comportait comme un enfant mal éduqué par sa mère, Eodum aurait dû avoir honte de son comportement pour le coup mais c’est ça qui fait son charme. Un caractère de merde dans un physique d’ange. Le brun faisait des grimaces tout en faisait des imitations ratées de l’homme qui parlait sur scène. « Je trouve pas ça intéressant ce qu’il raconte personnellement, j’ai juste envie de me barrer de là rapidement. » Absolument aucun respect, le silence, il ne connait pas, la politesse non plus, il connait quelque chose ou quelqu’un qu’il se respecte ? Excellente question. . Le conservateur poursuit. ‘’C’est pour cela que je vous présente la nouvelle pièce de collection, ici présente.’’
Des applaudissements parcourait la salle entière, Eodum arquait un sourcil sans rajouter un mot de plus, moment de silence de sa part et une critique quittait ses lèvres. « Son œuvre est laide, sérieux, le mec n’a pas goût. » C’est ça, enchaîne les critiques, Eodum ne connait pas la personne qui est en face de lui, elle aussi, peut être également très critique quand on attaque un inconnu. Ne fais pas le malin Eodum. Tu peux t’attirer des ennemis dans cette foule aux faux sourires.
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@ Athéna Porter
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Soyeux le pelage au travers duquel tu passes tes doigts, quant apaisantes sont les respirations de l’animal… Pourtant tu n’ignores pas son maître, pas plus que tu n’ignores le battement flottant de ton cœur à l’évocation de la ville impie… Destinée semblait te jouer tour sur tour, d’une soirée parmi tant d’autres où seul t’avait approché un être venant du même lieu…
Inconsciemment tes doigts, viennent défaire le pli imaginaire du tissu tandis que tu te redresses… Silencieuse tu avais été, jusqu’au second soupir du brun… jusqu’aux premiers mots du conservateur et la réplique cinglante bien que plus silencieuse du mannequin à tes côtés. Puisque tu ne pouvais ignorer l’ironie derrière l’agréabilité, ou le comique dans l’attitude de ton interlocuteur ; tu te permettais un rire à la fois discret et sincère.
Sérieux que tu n’affichais plus, d’un sourire étirant inconsciemment tes lèvres tandis que tu t’efforçais de suivre tout autant le discours du conservateur que le spectacle aux imitations ratées d’Eodum.
Destinée rendant grâce, tu n’avais point porté le verre à tes lèvres lorsque la critique du modèle avait finalement franchi la barrière de ses lèvres. Au risque de l’arroser tout autant que tu aurais paru disgracieuse.
Cependant tu ne caches point ton gloussement, ni le sourire étirant tes lèvres tandis que tu te décides finalement à exprimer le fond de ta pensée. Coupe se portant à ces dernières pour tenter de le masquer. “Et bien l’archiviste est certainement de votre avis” Confidence réalisée… De ton statut autant que ton avis… Néanmoins tu te sentais obligée de clarifier les choses, à tout du moins pour éviter tout malentendu dans le cas contraire.
Finalement délaissée au rebord d’une table, tu décidais finalement de présenter ta main au jeune homme, franchise inscrite tout autant à ton visage qu'à tes yeux. “Athéna. L'archiviste en question” reconnais-tu finalement, avant de poursuivre tandis que les mains se serrent. Moment fugace auquel tu mis rapidement fin, tactilité encore trop inconnu auquel tu ne t’habituais que peu. “J’avais personnellement opté pour la toile d’un peintre italien assez méconnu mais notre cher conservateur voulait quelque chose d’exceptionnelle à présenter comme nouvelle pièce. Je suppose que cela a eu fait l’escompter, même si c’est pour son absolu laideur” Quoi qu’il ait pu trouver à cet oeuvre, la prétendue beauté de cette dernière t'échapper, te rangeant par ce fait, du côté obscure de la force, d’un mannequin enfantin aux manières douteuses… Mais son honnêteté était d’un rafraîchissement que tu n’escomptais que trop ; et s’ils vous venaient à l’idée de jeter du sel fictif sur une œuvre trouvant votre mécontentement, cela ne pouvait être qu’un plus.
Inconsciemment tes doigts, viennent défaire le pli imaginaire du tissu tandis que tu te redresses… Silencieuse tu avais été, jusqu’au second soupir du brun… jusqu’aux premiers mots du conservateur et la réplique cinglante bien que plus silencieuse du mannequin à tes côtés. Puisque tu ne pouvais ignorer l’ironie derrière l’agréabilité, ou le comique dans l’attitude de ton interlocuteur ; tu te permettais un rire à la fois discret et sincère.
Sérieux que tu n’affichais plus, d’un sourire étirant inconsciemment tes lèvres tandis que tu t’efforçais de suivre tout autant le discours du conservateur que le spectacle aux imitations ratées d’Eodum.
Destinée rendant grâce, tu n’avais point porté le verre à tes lèvres lorsque la critique du modèle avait finalement franchi la barrière de ses lèvres. Au risque de l’arroser tout autant que tu aurais paru disgracieuse.
Cependant tu ne caches point ton gloussement, ni le sourire étirant tes lèvres tandis que tu te décides finalement à exprimer le fond de ta pensée. Coupe se portant à ces dernières pour tenter de le masquer. “Et bien l’archiviste est certainement de votre avis” Confidence réalisée… De ton statut autant que ton avis… Néanmoins tu te sentais obligée de clarifier les choses, à tout du moins pour éviter tout malentendu dans le cas contraire.
Finalement délaissée au rebord d’une table, tu décidais finalement de présenter ta main au jeune homme, franchise inscrite tout autant à ton visage qu'à tes yeux. “Athéna. L'archiviste en question” reconnais-tu finalement, avant de poursuivre tandis que les mains se serrent. Moment fugace auquel tu mis rapidement fin, tactilité encore trop inconnu auquel tu ne t’habituais que peu. “J’avais personnellement opté pour la toile d’un peintre italien assez méconnu mais notre cher conservateur voulait quelque chose d’exceptionnelle à présenter comme nouvelle pièce. Je suppose que cela a eu fait l’escompter, même si c’est pour son absolu laideur” Quoi qu’il ait pu trouver à cet oeuvre, la prétendue beauté de cette dernière t'échapper, te rangeant par ce fait, du côté obscure de la force, d’un mannequin enfantin aux manières douteuses… Mais son honnêteté était d’un rafraîchissement que tu n’escomptais que trop ; et s’ils vous venaient à l’idée de jeter du sel fictif sur une œuvre trouvant votre mécontentement, cela ne pouvait être qu’un plus.
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Aboiement joyeux sortait de la gueule du chien noir, heureux d’avoir de l’attention, petit rire qui s’échappait du mannequin en regardant son totem rempli plein d’amour. Les imitations ratées du sorcier semblait faire rire la jeune femme, moment réussi. Pour une fois que tu fais rire quelqu’un et non la manipuler. « Eh bien enchanté, Athéna. » Les mains se serrent que quelques temps avant de séparer, moment mature pour une fois de sa vie. La laideur de la pièce de cette collection fut d’accord avec le mannequin. « Elle devait être magnifique si vous l’avez choisi pour qu’elle soit dans sa collection, je ne comprends pas pourquoi qu’il n’a pas sélectionner, il ne sait vraiment ce qu’il rate. »
Puis, il poursuivit en finissant d’une traite son verre. « Ça vous intéresse si je vous l’achète ? La toile coûte combien ? Donnez-moi l’estimation, s’il vous plaît. » Demandé avec tant de politesse, c’est sur qu’elle va accepter, tu peux aller te fourrer la toile où tu penses, Eodum. Mais il ne pouvait s’imaginer à l’endroit où il pourrait accrocher cette magnifique toile, certainement dans le salon, il avait un espace disponible pour accueillir une toile célèbre. Il posait désormais son verre vide sur la table proche de sa portée. Croisant les bras, attendant que l’archiviste donne sa précieuse réponse face à la demande du sorcier noir. « Il trouvera une magnifique place dans mon salon. » rajoutait le sorcier au cheveux bruns, il espérait qu’elle accepterait rapidement. Voulant cette toile, tel un caprice comme un enfant de cinq ans réclamant ainsi son cadeau d’anniversaire en avance.
Alors que la foule fit de nouveau un brouhaha incessant, jaquetant au sujet de la nouvelle pièce, le mot laideur se fit entendre à plusieurs reprises ce que ne pouvait empêcher de rire de nouveau face à l’hypocrisie de la foule. « Mais quelle bande d’hypocrites, ça applaudit alors que tout le monde trouve cela horrible. » Il levait un rictus désespéré sans rien dire de plus en observant tout simplement en écoutant les potins. avant de regarder de nouveau Athéna. « Excusez-moi, les scènes là me font beaucoup rire. »
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@ Athéna Porter
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Compliment qui ne te sied guère… inexpérience joint à ton âme, sans origine ni aboutissement. Rose à tes joues, léger, seul traître à cette ignorance que tu masques pourtant si bien… prise au dépourvue, par sa remarque, l’aplomb qu’il met dans sa demande…
Amalgame désormais, de ceux que tu traquais tant au travers de la toile que dans la réalité, des soirées luxueuses par lesquels tu t'immiscais, frôlant les limites nébuleuses de la légalité…. argent brûlé du bout des doigts, d’une envie, d’un caprice… Attendant la réponse au travers des minutes défilants et du vacarme de la foule à demi-extatique, partage entre l’appréciation du modernisme et l’ironie de leur hypocrisie…
En son monde étrange, quelle était l’exacte vision de ta profession ? Collecter et classer, conserver et…communiquer, tels étaient les rôles que tu t’étais vu attribuer, l’instant même où le diplôme avait été remis, l’emploi trouver. En rien tu ne possédait les qualités d’un négociant d’art, quand bien même, le prix des œuvres t’était une donnée connue, courante quoique changeante…
Il n’était en rien possible d’ignorer la demande pour autant, la possibilité de la voir exposée dans un endroit plus propice qu’une réserve t’étais après tout fort séduisante. Pourtant tu ignorais les désirs du conservateur quant aux quelques toiles l’accompagnant ; tu n’étais pas plus informée de la possibilité de don qui avait été vaguement évoqué quant au départ de ces dernières à New York…. Honnête finalement, tu te décidais à répondre. “En d’autres circonstances, j’aurais probablement profité de l’occasion, cela dit mon rôle n’est pas de vendre les toiles. Je ne fais que les conserver” Avoues-tu finalement d’un haussement d’épaule léger. ”Pour être tout à fait honnête Eodum… c’est avec notre cher conservateur qu’il faudrait débattre de ce type…d’échange” finis-tu, pointant d’un index l’étrange homme aux fanfarons de paon déplumé…
S’il était possible, dans cet extrême probabilité improbable que le dit paon accepte… Reverrais-tu un jour la toile si tu revenais à Salem… Dans l’improbable possibilité que tu y retournes soufflait ton esprit, dans l’espoir probable que tu t’y décides soufflait ton cœur….
Pourtant là encore, en des circonstances autres… Eodum t’aurait-il accorder l’attention présente, toi qui t’étais pourtant sciemment isolée ?
Amalgame désormais, de ceux que tu traquais tant au travers de la toile que dans la réalité, des soirées luxueuses par lesquels tu t'immiscais, frôlant les limites nébuleuses de la légalité…. argent brûlé du bout des doigts, d’une envie, d’un caprice… Attendant la réponse au travers des minutes défilants et du vacarme de la foule à demi-extatique, partage entre l’appréciation du modernisme et l’ironie de leur hypocrisie…
En son monde étrange, quelle était l’exacte vision de ta profession ? Collecter et classer, conserver et…communiquer, tels étaient les rôles que tu t’étais vu attribuer, l’instant même où le diplôme avait été remis, l’emploi trouver. En rien tu ne possédait les qualités d’un négociant d’art, quand bien même, le prix des œuvres t’était une donnée connue, courante quoique changeante…
Il n’était en rien possible d’ignorer la demande pour autant, la possibilité de la voir exposée dans un endroit plus propice qu’une réserve t’étais après tout fort séduisante. Pourtant tu ignorais les désirs du conservateur quant aux quelques toiles l’accompagnant ; tu n’étais pas plus informée de la possibilité de don qui avait été vaguement évoqué quant au départ de ces dernières à New York…. Honnête finalement, tu te décidais à répondre. “En d’autres circonstances, j’aurais probablement profité de l’occasion, cela dit mon rôle n’est pas de vendre les toiles. Je ne fais que les conserver” Avoues-tu finalement d’un haussement d’épaule léger. ”Pour être tout à fait honnête Eodum… c’est avec notre cher conservateur qu’il faudrait débattre de ce type…d’échange” finis-tu, pointant d’un index l’étrange homme aux fanfarons de paon déplumé…
S’il était possible, dans cet extrême probabilité improbable que le dit paon accepte… Reverrais-tu un jour la toile si tu revenais à Salem… Dans l’improbable possibilité que tu y retournes soufflait ton esprit, dans l’espoir probable que tu t’y décides soufflait ton cœur….
Pourtant là encore, en des circonstances autres… Eodum t’aurait-il accorder l’attention présente, toi qui t’étais pourtant sciemment isolée ?
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Proposition si gentiment refusée de la part de la jeune femme tout en acquiesçant par la suite. « Je vois…. Je demanderai quand l’évènement sera terminé. » Première réaction positive de sa part comprenant le refus de l’archiviste. Son fils, le chien-loup américain aboyait une nouvelle fois pour attirer l’attention. « Hitam ? Qu’est-ce qu’il y a ? » La tête du mannequin se dirige vers son totem qui semblait attendre patiemment, « Hm ? Tu as faim ? Attends, je vais te chercher des trucs à grignoter au buffet…. J’suis sûr que tu as accepté de venir juste pour la nourriture ! » Il riait quelques secondes puis le mannequin cessait. « Excuses moi Athéna, je dois aller nourrir Hitam.. Ou sinon, tu m’accompagnes… ? »
C’est alors que le mannequin suivait son totem dans la direction du buffet attiré par les délicieuses odeurs qui émanaient des tables. « Tu veux quoi ? Du jambon ? Mais Hitam, c’est du jambon fumé, c’est hyper salé… » Eodum soupirait. « Bon, tu ne veux pas des petits bouts de sandwichs ? Non plus ? Hitaaaaam, cesse de faire la star au moins pour ce soir, s’il te plaît. » Grognement léger venant du canidé pour contredire le sorcier. « Bon ok, tu veux ça ? »
Il pointait son doigt dans la direction du pain surprise. « C’est au poulet , j’ai l’impression… » Eodum tendait sa main vers la gueule de la créature qui s’empressait de se jeter dessus pour en même temps ne pas mâcher et avaler tout d’une traite. « Glouton va ! » Des aboiements s’ensuivent en prenant un air dramatique par la suite. « Mais encore ? » Eodum se frottait la nuque. « Désolé, c’est parti un peu dispute familiale. » Disait-il en riant peu de temps après.
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