By your side - Athéna Porter
@ Athéna Porter
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Emploi : Archiviste
Localisation : Salem
Athéna Jenny Porter
taking a closer look
Pando/Pan, "Pandora" (elle)
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@ Athéna Porter
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And I’ll still be your heartbeat
In your mind every single day
Wait until the reaper takes my life
Cliquetis des sabots s’éloignant de Salem Village, emportant au loin la précieuse cargaison. Corde se tend à quelques lieux… Ascendance accusée, jugée, coupable de différence, objet de frayeur et d’incompréhension. La sorcière est morte.
Nourrisson dissimulé sous l’épais manteau, silencieux… Silencieuse l’enfant qui jamais n’évoque ses origines, accepte les secrets de ses dons, ce patronyme qui n’est pas le sien. Aucune limite n’est infranchissable quand il s’agit de disparition. Pourtant, l’Histoire, jamais ne meurt… Qu’importe si le patronyme s’estompe dans les engrenages disparates de la société patriarcale : Good est un nom, Sarah, elle, est éternelle…
…Past just won’t let go right ?
A leur manière, aussi opposés que complémentaires… Agnostique, militaire, arpentant les allées à la recherche du calme ; sorcière, employée dans une boutique ésotérique, déposant un bouquet sur la tombe d’un proche. Premiers regards échangés au sein du St Mary’s Cemetery… Destin, en excuse à leur deuxième rencontre : il n’y croit pas, pas plus qu’elle…
Premier rendez-vous nocturne, aux corps qui se frôlent, s’emmêlent au rythme des musiques. Deuxième, troisième… Le compte se perd, dans les secrets dévoilés, présentations et approbations des siens, des leurs. Il aime sa spontanéité, elle apprécie son calme, son impassibilité face à ce demi-monde si éloigné du sien…
Première séparation… Mission au silence angoissant, jusqu’à ce que le téléphone sonne, jusqu’à ce que sa voix résonne et qu’il ne devienne le premier de nombreux et longs appels. Mutation à effectif immédiat, quatre simples mots, une question.. “Me suivras-tu ?” Jusqu’au bout du monde. Alors les murs de planches s’effacent au profit des structures de béton et d’acier… New York n’est pas Salem, New York n’est pas le coven… Existence reposant sur le socle d’un équilibre précaire…
Pulpe de ses doigts frôlant l’échographie, preuve irréfutable de sa présence… Imprévu effrayant faisant vaciller l’équilibre précoce de leur existence jusqu’au non-retour…
Au matin ne reste que les souvenirs de ce qui avait été, les visions de ce qui aurait pu être… Toi et moi little one… Quelques photos, de nombreuses lettres, les liens avec le coven perdurent… Et Morgana berce son enfant au rythme des mots d’Abigail, des berceuses de son enfance, pulpe de ses doigts frôlant la peau distendue de son ventre.
Dénouement d’heures solitaires, où les pleurs de l’enfantement sont éclipsés par ceux du bonheur, de la joie. En résulte un acte encadré, précieusement conservé dans le tiroir d’un bureau, enfant de père inconnu… Inconnu le malheur, durant quelques mois…. New York se nourrit des espoirs, des rêves… Un an et quelques appels lui donnent l’impulsion pour revenir à Salem. Quelques mois de préparation mènent finalement à une date prédéfinie, la route est prise après de derniers adieux à la grande cité….
Silencieuse est l’enfant, aux petites mains tendues vers le mobile de sa coque, vers le balancement régulier provoqué par la patte de Thalia. Le rire d’Athéna trouve écho en celui de sa mère… Une fraction de seconde… La bête traversant la chaussée, le crissement des pneus sur le bitume… Ces quelques secondes de flottement, où les secondes s’étirent en heures avant que tout ne retrouve sa place.
Silencieuse est l’enfant, dans l’ambulance, dans ces couloirs dénués de couleurs où règne l’odeur aseptisée des produits d’entretiens…
Orpheline, ce 23 Décembre 2000 tandis que l’horloge affiche 22h48… Bambin surveillée nuit et jour par celle qui deviendrait la femme la plus importante de son existence, mois de silence, de douleurs et finalement de cris, occultée seulement lorsque le feu d’une crinière rousse entrait dans le champ de vision du bambin. Gardienne féroce des lieux, de sa personne. Et si quelques sorcières, rivales ou non tentèrent de s’en approcher, nul ne franchit le seuil de sa vision…
Had a voice but I could not sing
Silencieuse l’enfant les premiers mois, les larmes apparaissent ne déclenchent aucun son…. Cela interroge, inquiète… Poupée de porcelaine aux traits inexpressifs ou presque, yeux curieux observent les changements de sa gardienne et premier sourire tordu à l’attention d’un poupon rosé que l’on explique être sa sœur. Drôle de petit être qu’est ce petit astre solaire au caractère déjà bien trempée, curiosité même, recrachant sa tétine sur un Nikolas décontenancé dans ce qui semblait être un moment important… Et par pur mimétisme, Bucky le doudou finit également sur Nikolas…
Silencieuse est l’enfant de deux ans, quelques gestes, quelques sons… On évoque les séquelles de l’accident, les possibles retards de la petite et au détour d’une conversation, Clara se prépose à l’enseignement des signes… Gestes rapides, curieux, Athéna les répète pourtant, sans, quelquefois, en comprendre totalement le sens.
Silencieuse est l’enfant jusqu’à la première blessure de Callista, perles carmins qui dénouent les cordes vocales, premier mot éraillée provoquant l’attention générale. Premier mots de quelques autres, l’apprentissage des signes se faisant au rythme des paroles qu’elle débite, peu nombreux lorsque Callista exprime ses idées avec la même assurance que si c’était les siennes…
L’image s’impose, à mesure que les mois deviennent années, toujours ensemble et paradoxalement opposés… Callista en astre solaire, toi, lunaire, l’une dans une pièce, l’autre, jamais bien loin. L’âge, les circonstances… L’équité avait toujours semblé régner sur votre relation, il ne semblait pas y avoir d’aînée, jusqu’aux premières disputes; jusqu’à ce qu’instinctivement, tes mains viennent se placer sur ses oreilles, que ton corps, par impulsion, ne l’entraîne loin des cris et esclandre des deux adultes.
Le tableau se brise, la compréhension se fait, l’appréhension vient… Et une après-midi, les affaires de Callista disparaissent de la chambre, les plus importantes d’abord, les moindres par la suite ; il l’entraîne loin de toi, tandis que tu pleures, tu hurles, le maudit en hurlant au monde que tu le détestes qu’il n’a pas le droit…
Cette première nuit la chambre est vide, froide, dénuée de vie…. Les pensées se bousculent sans qu’aucune ne parvienne à te décider sur ce que tu hais le plus : lui, les juges ayant plaidé en sa faveur, même votre mère apparaît brièvement à ton esprit.
Le lit s'affaisse timidement sous le poids de son corps, billes ébènes venant trouver les tiennes alors que sa fourrure devient source de réconfort… Ce n’est qu’au matin que tu te décides à le nommer, à le présenter à ce qu’il reste de ta fille… Pantalaimon devient ta source de réconfort, sans jamais remplacer totalement ta sœur…
Réflexion faite, tu ignores à quel moment tu as commencé à penser ainsi… Tu avais seulement compris que l’on te traitait de garce chaque fois que ton comportement ou tes réponses ne leur permettait pas de te confondre avec un paillasson ; intérieurement, tu jubilais de les savoir assez en détresse pour les insultes, les remarques, deviennent la seule arme à leur arsenal. Silencieuse jusqu’à ce qu’il faille répondre, pointes acérées, sournoise à plus d’un titre… du téléphone jusqu’à l’ordinateur, aux comptes des réseaux sociaux. Tes échecs te faisaient progresser quand tes succès te faisaient gagner en assurance… Pour le meilleur, le pire, frôlant désormais les limites de la légalité sous le pseudonyme ironique de Fragile.
Différentes, vous le deveniez de trop ? Ou étais-tu celle qui avait changé de trop ? Vos hurlements n’avaient cessé de monter en volume, jusqu’à la phrase de trop… Silencieuse la chambre, que tu avais quitté en claquant une dernière fois la porte, mots réveillant à eux seuls tes doutes et incertitudes.
En offrande, chambre soigneusement rangée aux quelques articles manquants… Silence nocturne, pleine lune éclairant tes pas ; Pantalaimon avait glissé sa tête hors de ton sac pour jeter le regard que tu n’avais eu le courage de porter sur l’imposante bâtisse. Tu as eu celui d’effacer toute trace de ton passage, à tous les points traversés….
Vers le sud jusqu’à New York, retrouver les lieux qui avaient vu ta première année, retrouver ton géniteur, comme tu le pouvais.
Aller simple jusqu’à San Francisco, découvrir le Pacifique, la Silicon Valley… Intégrer un groupe de hackers brillants, bien plus que tu ne l’étais en échappant au coven, protégée du groupe, ils t’élèvent à un tout autre niveau. Et lorsque le moment vient, tu fais ce que tout jeune devrait faire… Poursuite d’études engagée dans l’Histoire, celle du grand H, celle qu’inconsciemment tu attribues à Abigail ; celle qui, à la manière de Wonder Woman, te permet de cumuler service de jour et service de nuit.
Prénom prononcé au détour d’une conversation, Lockne te regardant, yeux perçant sondant ton âme quelques instants… Année de silence avant que ses mains ne déposent un billet d’avion pour Boston dans les tiennes. Nul besoin de mots pour exprimer ce que vous pensez toute deux : quatre années de silence t’ont permis de faire le point…
Au détour d’une ruelle, tu utilises tes ‘économies’ pour acheter ton moyen de locomotion… Elle n’est pas neuve, rayée à quelques endroits, mais le deux roues te conduit jusqu’à Salem. Tu ne t’attends à rien, comment le pourrais-tu ? Panneau franchi, la tête de Pantalaimon vient s’accoler à la tienne, ne disait-on pas que faire preuve de courage signifiait affronter ses peurs ? La plus grande possédait une crinière de feu et une louve en compagne… la représentation même de ce que tu avais si soigneusement évitée.
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@ Nikolas Queen
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Emploi : Fleuriste à temps partiel, le nez dans les douces senteurs
Welcome to the family
Le cousin Queen y te crotte avec amour Pandou !
Ravis de voir que tu as
Hâte d'en savoir bien plus que la petite Porter ! Et tu sais où nous trouver en cas de besoin !
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Si tu as la moindre question, n'hésites surtout pas, les admins sont là pour y répondre, t'aider si jamais tu as un soucis ! Tu as donc à partir de maintenant un délai de
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@ Eodum Yoon
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Emploi : Mannequin, défile dans le monde entier, ce qui fait tomber certains fans quand il arrive à l'aéroport.
Localisation : Dans son agence de mannequinat, à balancer sa haine aux photographes qui n'ont sûrement rien demandés de leurs vies.
Bonsoiiiiir et bienvenue sur notre petit bijou !
Si tu as la moindre question ou une quelconque infos que tu souhaites nous demander, n'hésites surtout pas ! J'ai également hâte de lire ta fiche et d'en savoir plus !
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@ Elli Williams
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Emploi : Fleuriste depuis des années, grande amoureuse des fleurs que tu conseilles.
Localisation : Si t'es pas à la boutique, t'es chez toi, parfois au Couvent, jamais au même endroit.
Et bienvenue à toi !
Pour la moindre question .. Demande à Papy Queen, il se fera un plaisir d'y répondre !
Non je plaisante, n'hésite pas à la moindre demande, on est là pour ça, en tout cas j'ai hâte de voir ce petit bout de femme et j'call first pour un petit lien !
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@ Athéna Porter
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Emploi : Archiviste
Localisation : Salem
Merci beaucoup pour vos petits mots d’amour, vous inquiétez pas la suite arrive très bientôt ahah
@Elli Williams y’a pas de soucis, je t'attend de pied ferme
@Elli Williams y’a pas de soucis, je t'attend de pied ferme
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@ Nikolas Queen
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Emploi : Fleuriste à temps partiel, le nez dans les douces senteurs
It's a new dawn
*lance les clés et se casse*
Bienvenue dans l'aventure jeune demoiselle ! Fais attention à toi, les rues ne sont pas sûres la nuit !
J'connaissais déjà ta plume mais encore une fois, certains passage j'avais oublié la puissance de tes mots, encore une fois bienvenue, j'espère que tu te plairas parmi nous !
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Te voilà maintenant prêt.e à te lancer dans l'aventure ! Tu peux d'ores et déjà créer ta fiche de lien afin de ne pas arpenter les rues de Salem seul.e ! Tu peux également te connecter en créant ton compte twitter ainsi que ton téléphone portable ! Et parce que s'ennuyer à deux, c'est mieux, tu peux partir à la recherche d'un.e partenaire ( ou plusieurs ! ) par ici !
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@ Contenu sponsorisé
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